Maite Billore

Maître de conférences- Histoire médiévale

Faculté des Humanités, Lettres et Sociétés

Enseignants - Maître de conférences

Coordonnées

Fonctions

- Maître de conférences en Histoire médiévale

- Fonctions administratives

  • Depuis 2021 : Membre du conseil de Laboratoire du CIHAM-UMR
  • 2022-2024 : Elue CFVU, CAC
  • 2022-2023 : Enseignante référente L3 Histoire
  • 2021-2022 : Assesseur du doyen de la Faculté des Lettres et Civilisations
  • 2021-2022 :  Référente RI pour la Faculté des Lettres et Civilisations
  • 2018-2023 : Référente parcoursup
  • 2018-2023 : Référente e-candidat
  • 2017-2020 Responsable pédagogique des dispositifs UE libre et engagement étudiant
  • 2016-2020 : Chargée de mission Réussite des étudiants auprès du président de l'université
  • 2013-2017 : co-référente APB pour la faculté des Lettres
  • 2013-2016 : référente PREL (Plan Réussite en Licence) pour la faculté des Lettres
  • 2013-2023 : Enseignante référente L2 Histoire
  • 2010-2023 : Co-responsable du diplôme de Licence d'Histoire
  • 2010-2014 : co-directrice du département d'Histoire

Enseignement et recherche

Section CNU
21 - Histoire, civilisations, archéologie et art des mondes anciens et médiévaux
Domaines d'enseignement
Histoire
Disciplines enseignées
Histoire médiévale
Responsable des cours
Thèmes de recherche
Monarchie Plantagenêt, pouvoir, idéologie, contestation du pouvoir, rumeur, révolte, justice, martyr, aristocratie
Centre de recherche
Histoire, Archéologie, Littératures des mondes chrétiens et musulmans médiévaux (CIHAM)
Habilitation à diriger des recherches
non
Curriculum Vitae
Maïté Billoré est agrégée d’Histoire et docteur en Histoire et civilisation médiévale. Elle a été enseignante dans le secondaire pendant 13 ans, puis ATER d’Histoire médiévale à l’université d’Angers de 2002 à 2005. Elle est maître de conférences depuis 2006 à l’université Jean Moulin - Lyon III.

Après une thèse menée sous la direction de Martin Aurell sur l’aristocratie normande et ses relations avec le pouvoir angevin fin XIIe-début XIIIe siècle, soutenue en décembre 2005, elle a traité ce thème dans plusieurs communications tout en élargissant son champ chronologique (de Guillaume le Conquérant à Henri III) et spatial (en passant la Manche).
Ces dernières années ont été plutôt consacrées à l’analyse des différentes formes de contestation du pouvoir (contestations idéologiques, trahisons, complots, révoltes…) et leur répression, ce qui l’a amené sur le terrain de l’histoire judiciaire et à une réflexion sur la notion de "martyr politique".