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Connivences épistolaires ? Autour de Madame de Sévigné (Lettres de l'année 1671)
Sous la direction de Mathilde Bombart
Publié le 21 janvier 2013 – Mis à jour le 8 mars 2019
Actes de la Journée d'étude organisée à Lyon le 1er décembre 2012.
Les études publiées ici rassemblent les actes de la journée d’étude organisée à Lyon le 1er décembre 2012 autour de la correspondance de Madame de Sévigné.
Le travail sur cet auteur à l’occasion du programme de l’agrégation en 2012-2013 a rencontré la question de la connivence, qui se trouve depuis la rentrée 2012 au centre des activités de recherche du GADGES.
Les enjeux de la mise en place d’une relation de connivence dans le cadre d’une relation épistolaire s’y sont trouvés interrogés selon plusieurs axes : comment se construisent d’une lettre à l’autre, un savoir, un passé, voire, paradoxalement, un espace commun ? Quel rôle jouent les informations, nouvelles, paroles rapportées et autres formes de présences du monde et des autres, tiers à la relation d’écriture, dans l’élaboration de celle-ci : la connivence entre épistoliers se noue-t-elle contre eux ou dans une dynamique qui les intègre et les absorbe comme une référence commune ? Comment penser la relation de connivence dans le contexte d’énonciation polyphonique et de lecture (souvent) collective qui est celui de la production et de la destination des lettres de Madame de Sévigné ?
La publication de ces actes a été rendue possible par le soutien du département des Lettres de l'ENS de Lyon et du GADGES.
La publication en ligne de ces actes a été réalisée par Emmanuelle Bruyas, Webmestre institutionnel de l'Université Jean Moulin - Lyon 3.
Le travail sur cet auteur à l’occasion du programme de l’agrégation en 2012-2013 a rencontré la question de la connivence, qui se trouve depuis la rentrée 2012 au centre des activités de recherche du GADGES.
Les enjeux de la mise en place d’une relation de connivence dans le cadre d’une relation épistolaire s’y sont trouvés interrogés selon plusieurs axes : comment se construisent d’une lettre à l’autre, un savoir, un passé, voire, paradoxalement, un espace commun ? Quel rôle jouent les informations, nouvelles, paroles rapportées et autres formes de présences du monde et des autres, tiers à la relation d’écriture, dans l’élaboration de celle-ci : la connivence entre épistoliers se noue-t-elle contre eux ou dans une dynamique qui les intègre et les absorbe comme une référence commune ? Comment penser la relation de connivence dans le contexte d’énonciation polyphonique et de lecture (souvent) collective qui est celui de la production et de la destination des lettres de Madame de Sévigné ?
La publication de ces actes a été rendue possible par le soutien du département des Lettres de l'ENS de Lyon et du GADGES.
Sommaire
- Olivier Leplatre : "Je ne vous ai épargné aucun détail"
- Hélène Merlin-Kajman : Le partage du sensible dans les Lettres de Madame de Sévigné
- Frédéric Calas : Les mots pour se dire : étude de l'ethos discursif de Mme de Sévigné dans sa correspondance (année 1671)
- Fabienne Boissiéras : Dispositifs énonciatifs et dispositifs topographiques dans les Lettres de Mme de Sévigné
- Michèle Rosellini : "Je suis bien loin d'abonder dans mon sens" : lecture et expérience de soi dans les Lettres de l'année 1671
- Nathalie Freidel : Le paradigme économique chez Mme de Sévigné
- Nathalie Fournier : Formes et fonctions de la comparaison chez Madame de Sévigné (Lettres de l'année 1671)
La publication en ligne de ces actes a été réalisée par Emmanuelle Bruyas, Webmestre institutionnel de l'Université Jean Moulin - Lyon 3.
Mise à jour : 8 mars 2019